Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages mais à avoir de nouveaux yeux.
Marcel Proust

Dans les rues de Calcutta...

bien que mélangées aux immondices,
servent de plages et de salles de bains



Mais ce sont les rues qui sont encore plus surprenantes
pour une ville, parfois moderne,
de cette taille (15 millions d'habitants !)
et capitale de l'Inde jusqu'en 1912.
Bien sûr on y circule, de bien des façons...


Mais le moyen le plus prisé de se déplacer, reste le pousse-pousse.


La rue est aussi un étal permanent où tous les produits,

même les plus fragiles, sont vendus par 40 °

On peut s'y faire tailler un costard en quelques heures...

ou un slip en quelques minutes.

Vu depuis chez Mère Thérésa,

un quartier comme un autre :

ses cochons nettoyeurs,


ses salles de bain en plein air,


ses marchands de glaces avec mendiants,

ou ses mendiants sans les glaces,

et ses dormeurs solitaires,


ou en famille, puisque de toute façon

une bonne partie de la population vit dans la rue !

On y rencontre même des hurluberlus

sortis tout droit des innombrables temples
qui complètent le quartier.

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